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Sovereignty theory --- Independence dangers --- Relations internationales --- Autonomie --- Relations internationales. --- Autonomie.
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Christian saints --- Ignatius, --- #GBIB: jesuitica --- 235.3 IGNATIUS DE LOYOLA --- Hagiografie--IGNATIUS DE LOYOLA --- Ignace, --- Ignacio, de Loyola i Manresa, --- Ignacio, --- Ignasi, de Loiola i Manresa, --- Ignatius, Loyola and Manresa, --- Ignatius Loyola, --- Ignazio, --- Iñigo, --- Loĭola, Ignatiĭ, --- López de Loyola, Iñigo, --- Loyola, Ignacio de, --- Loyola, Ignatius of, --- Loyola, Yñigo de, --- Loyolai, Ignáo, --- Yñigo, --- イグナチオデ・ロヨラ, --- Ighnāṭiyūs Dī Lūyūlā, --- اغناطيوس دي لويلا --- Ignatius of Loyola, --- Ignasi, --- Ignatius Loyola and Manresa, --- Christian saints - Spain - Biography --- Ignatius de Loyola --- Ignatius, - of Loyola, Saint, - 1491-1556
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Militants politiques --- Réfugiés basques --- Franquisme. --- Extradition --- Dans la littérature. --- Grupos antiterroristas de liberación
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"'La Seine est le fleuve sur le bord duquel j'aurai passé l'essentiel de ma vie. Je me suis aperçu très tard que cette mince coulée grise et verte formait le centre d'un territoire réel et imaginaire, dont je n'avais cessé de vouloir déchiffrer le secret.' De la source à Troyes, de Samois à Évry, Bercy, Paris et au-delà..., François Sureau rapporte de chacune de ses étapes un récit. Vies d'écrivains et de peintres égarés, instants d'amour, incendies, controverses oubliées, départs vers le lointain... Autant de rencontres inattendues qui déplacent notre point de vue et nous invitent à regarder autrement ce fleuve et notre pays."--Page 4 of cover.
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"Je m'en remets, dans l'ordre profane, à Guillaume Apollinaire. J'ai fréquenté son école parce que j'ai compris très tôt que notre rencontre avait été décidée ailleurs ; que je pourrais apprendre de lui comment consentir sans faiblesse, m'attrister sans me perdre, chercher sans me décourager." Prenant le contre-pied des biographies, François Sureau a choisi de remonter le cours de la vie d'Apollinaire, pour mieux s'approcher de ce qui a hanté de manière permanente l'existence de Guillaume et fait de lui un frère : la mort, la vie, la guerre, les femmes, la France, l'étranger. Ce n'est pas tant le destin du poète qui importe à François Sureau, que son acuité à percevoir le monde dans lequel il vivait et la retranscription unique qu'il en livra dans son oeuvre. Ma vie avec Apollinaire montre combien elle résonne encore, intacte, un siècle après que la grippe espagnole a emporté l'écrivain."--Page 4 of cover.
Authors, French. --- Poets, French --- Poets, French. --- Apollinaire, Guillaume, --- Apollinaire, Guillaume, --- 1900-2099.
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« Personne d'autre que le citoyen libre n'a qualité pour juger de l'emploi qu'il fait de sa liberté, sauf à voir celle-ci disparaître. Ainsi la loi ne peut-elle permettre à l'État de restreindre abusivement la liberté d'aller et venir, de manifester, de faire connaître une opinion, de s'informer, de penser pour finir. » François Sureau Lorsque Chateaubriand déclare que « sans la liberté il n'y a rien dans le monde », ce n'est pas seulement un propos de littérateur. Il exprime cette vérité trop souvent oubliée que « sans la liberté », il n'y a pas de société politique, seulement le néant de ces individus isolés auquel l'État, porté à l'autoritarisme et à l'ordre moral, a cessé d'appartenir. Tel est bien le danger de la démocratie moderne que François Sureau s'emploie ici à désigner tant dans nos mœurs sociales que dans notre vie politique et, sans concession, à la lumière de nos responsabilités individuelles et collectives. L'homme est voué à la liberté ; il lui revient continûment, avec « patience et souffle », d'en reformuler le projet politique et de n'y rien céder.
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Le soir venu, deux hommes parlent. Ils parlent de littérature d'abord, et aussi de politique et de morale. Le premier a connu plusieurs vies : il a été directeur du "Figaro", il est journaliste, il est surtout romancier. Il met la littérature au-dessus de tout. Le second croit encore qu'on peut mener de front plusieurs existences, écrire et agir à la fois. Ils se sont rencontrés par hasard. Ils ont trouvé beaucoup de choses à dire. Interroger un écrivain, c'est aller au-delà des livres qu'il a faits et qui se suffisent à eux-mêmes. Interroger Jean d'Ormesson, c'est laisser de côté le succès d'"Au plaisir de Dieu", de "La gloire de l'Empire" ou de la biographie sentimentale de Chateaubriand, et lui demander, sans complaisance, ce qu'il a fait de sa vie. Quel profit il a retiré d'être né au centre du monde, d'avoir été mêlé à quelques affaires de son époque qui n'étaient pas négligeables, d'avoir connu Malraux, Aron, Caillois, Lazareff, Pompidou, Agnelli, bien d'autres encore. Pour savoir un peu mieux, à la fin du siècle, ce qu'est un écrivain français. Les masques retirés, on découvre ici un visage inhabituel. Celui d'un homme qui s'accommode simplement des incertitudes terrestres, d'un homme qui se retient devant l'emphase, sinon devant l'émotion. D'un homme qui se consacre désormais aux quelques livres qu'il lui reste à écrire.
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